Think Green

Agir au quotidien réduire son empreinte numérique

En proposant des supports numériques, Solidarcom prend bien évidemment conscience de la nécessité d’avoir un comportement nécessaire à la réduction de l’empreinte numérique.
Nous partageons cette analyse :

Papier recyclé

Pourquoi faut-il produire et utiliser du papier recyclé ?

On croyait que l’apparition des modes de stockage numériques (via l’ordinateur) allaient sérieusement faire diminuer notre consommation de papier : il n’en est rien, nous imprimons à tout va des tracts, des affiches. Les associations qui s’adressent aux mairies en demandent toujours plus, car c’est gratuit.
Le bilan écologique global du papier recyclé, selon l’ADEME, est meilleur que celui du papier vierge (à qualité égale), entre autres à cause du traitement et transport du bois. Cependant, le développement des papeteries modernes fabriquant du papier recyclé situées autour des grandes concentrations urbaines est nécessaire, pour que le gain du recyclage soit maximisé. Ensuite, il faudrait que les imprimeurs et les distributeurs jouent le jeu : selon les papetiers le prix du papier recyclé (à qualité égale) est plus bas, cependant, les imprimeurs le proposent toujours plus cher, parfois beaucoup plus cher, principalement, parce qu’ils ne l’ont pas en stock (achat en grande quantité), mais ils l’achètent à chaque commande (petite quantité). On ne trouve pas non plus de papier recyclé pour imprimante dans les grandes surfaces.Les prix supérieur entre 20 et 30% découragent les consommateurs.
Solidarprint SCIC développe une stratégie pour proposer des impressions sur du papier recyclé, affiches, flyers, cartes de visite en espérant que le volume d’achat qui lui sera confié amènera les prix vers le bas, au moins à égalité avec les papiers standard.
Le papier recyclé le moins cher est celui qui n’est pas imprimé.

 

STOP PUB : refuser la publicité dans la boîte aux lettres

Un tiers du papier imprimé en France est utilisé à des fins publicitaires (CNIID). Ainsi, nous recevons en moyenne 40 kg de prospectus et publicités non sollicitées par an, ce qui représente 35% du tonnage de papiers impression-écriture fabriqué en France. Une quantité non négligeable qui entraîne, pour une ville de 100 000 habitants une dépense de 250 000 € par an pour les traiter une fois à la poubelle (ADEME, 11/2005).
Un moyen simple et efficace de ne plus recevoir de publicité dans sa boîte aux lettres et d’y apposer un papillon « STOP PUB », une initiative du ministère de l’Écologie et du Développement durable que nous encourageons. Vous pouvez imprimer vous-même notre étiquette puis la coller sur votre boîte aux lettres. Le résultat est sans appel.
Ne soyez pas trop indulgents vis à vis des emplois qui pourraient « disparaître » : il reste encore beaucoup de boîtes aux lettres non étiquetées et les distributeurs sont exploités. En effet, leur rémunération, n’atteint que la moitié du smic horaire (environ 5.5 euros / h !). Cela ne semble pas gêner les collectivités, organismes publics et la grande distribution qui en profitent…
Enfin, N’hésitez pas à téléphoner aux organismes qui vous envoient de la publicité pour qu’ils vous retirent de leur base de données de mailing.

 

 

Victor COSTA s'engage...

Domicilié en Puisaye, Victor Costa est l’un des 150 Français qui participe à la Convention citoyenne pour le climat.
Nous l’avons rencontré à Solidarts pour échanger sur nos engagements sociaux et sur notre démarche de transition écologique.
Réduire la consommation d’imprimés en tout genre, ça va dans le bon sens considère-t-il. Trop d’activités humaines génèrent de la pollution et une perte de la biodiversité.
Les objectifs de l’équipe, il les partage, même plus, il apporte sa contribution en laissant germer des projets que Solidarts est à même de participer dans le cadre du pôle de développement d’applications numériques…
Voici une rencontre enrichissante et merci pour l’engagement de Victor pour populariser le concept TAMTAM France.

Victor Costa« On a les moyens de faire autrement pour préserver le climat », estime Victor Costa.
« On est libre de nos choix. Mais on a aussi une responsabilité sur les épaules. C’est motivant. »
« À la fin de la convention, on est censé avoir élaboré, avec des juristes, des textes de loi qui seront soumis à l’Assemblée nationale ou directement aux citoyens par référendum, précise-t-il. Et on a la possibilité de solliciter des experts. » L’Icaunais va demander la venue de Nicolas Hulot et du collapsologue (spécialiste de l’étude de l’effondrement de la civilisation industrielle) Pablo Servigne.
Six week-ends de trois jours de travail sont programmés jusqu’à début 2020, avec une journée bilan pour faire le point sur ces six mois de réflexion. Les frais seront pris en charge (déplacement, hôtel, restauration, garde d’enfants) et les citoyens sont indemnisés.

Lien vers les sites

Nous avons entre nos mains une part significative du monde de demain. Les acteurs de l’économie sociale et solidaire de l’universolidar prennent en considération la nécessité de participer activement à la transition écologique et incitent les citoyens, associations et institutionnels à agir dans l’unité pour un cheminement écologique. Nous enrichissons cette rubrique de coordonnées d’associations éthiques.

Zero déchets
Colibris

Un mouvement citoyen
Les Colibris, ce sont tous ces individus qui inventent, expérimentent et coopèrent concrètement, pour bâtir des modèles de vie en commun, respectueux de la nature et de l’être humain.

Le papier recyclé